Dès l'entrée, une plaque le rappelle : « Hôtel Fleuriau, lieu de mémoire de l'esclavage ». C'est dans cet esprit qu'est présentée la riche collection de ce musée fondé en 1982. On s'attardera devant les superbes allégories des quatre parties du monde et les papiers peints panoramiques (déb. 19e s.) représentant des Incas. À ne pas manquer : les évocations émouvantes de l'esclavage, des gravures des Antilles et la reconstitution du cabinet d'un armateur rochelais au 18e s.