Les origines de ce jardin, véritable havre de paix mais aussi outil de recherche, remontent à la fin du 17e s. Les rhododendrons représentent l'une des principales attractions du domaine. À l'intérieur de serres futuristes (1967), on se promène sur des sentiers sinueux entre des massifs originaux. Les deux pavillons consacrés aux palmiers des régions tropicales et des climats tempérés sont plus classiques. Inverleith House (18e s.), accueille des expositions temporaires d'art contemporain.