Dans un cadre superbe, un sentier bétonné de 1 km vous mène, à l'ombre d'une bambouseraie, jusqu'à la tranchée de Konyu. Les prisonniers y travaillaient jadis sans interruption, nuit et jour, pour creuser des passages dans l'énorme chaos des rochers. Un travail harassant qui donna à l'un d'entre eux, lorsque les flammes des foyers perçaient la nuit, la vision des bouches de l'enfer... Un bloc de pierre colossal, coupé en deux, atteste la rudesse du travail des captifs, qui disposaient de surcroît d'outils très rudimentaires.