Occupé par le 8e régiment de transmissions depuis 1944, le fort du mont Valérien abrite aussi, depuis 1922, un service de colombophilie militaire et de météorologie. Lieu de mémoire, le site rappelle le souvenir des 4 500 otages et résistants fusillés par les Allemands durant l’Occupation, parmi lesquels Honoré d’Estienne d’Orves, Missak Manouchian et Gabriel Péri.