Le cadre a valu au Wat Traphang Ngoen son nom de « temple du Lac d'argent ». Devant un chedi en bouton de lotus, creusé de niches abritant des bouddhas debout, un majestueux bouddha blanc prenant la Terre à témoin trône au-dessus des ruines du wihan. Son regard semble perdu dans la contemplation du lac, écrin romantique de l'ubosot qui s'élève en solitaire sur un îlot.