Si vous voulez vous faire une idée de la catastrophe de 1902, ne manquez pas le quartier du Centre et son musée volcanologique Franck A.-Perret qui retrace l'éruption. Dans les rues, se dressent quelques ruines délibérément conservées. Saisissantes, elles laissent parfois transparaître la beauté du bâtiment initial, comme les ruines du théâtre édifié à la fin du 18e s. (rue Victor-Hugo). Toutes proches, les ruines de la prison donnent encore à voir le cachot auquel Louis-Auguste Cyparis, un des deux seuls survivants de la nuée ardente, doit la vie.