Dominées par des versants escarpés, ces gorges, assez évasées jusqu'à St‑Guilhem-le-Désert, se rétrécissent de plus en plus jusqu'au pont du Diable. L'Hérault creuse, au fond de la vallée, un canyon dans lequel il coule étroitement encaissé. Çà et là, une petite terrasse soutenue par un mur, quelques pans de vigne, un petit pré ou des oliviers accrochés au-dessus du fleuve représentent les seules cultures.