Lieu pour le moins insolite. Ne découvre-t-on pas, dans les salles de la première centrale thermoélectrique publique alimentée en partie par des turbines à vapeur, des sculptures provenant des musées du Capitole ? Ainsi les pièces (du 6e s. av. J.-C. au 1er s. ap. J.-C.) voisinent-elles avec d'imposants moteurs Diesel. À chaque siècle son encre, mais le mélange des deux est ici un enchantement. Il suffit d'observer, dans la salle des chaudières, la magnifique Vénus de l'Esquilin, copie romaine d'époque impériale.