Cette église (11e s.), désaffectée au milieu du 16e après l'introduction de la Réforme, a subi des travaux de restauration qui lui ont rendu son aspect primitif. L'intérieur est d'une sobriété qui confine à l'austérité. Dans la belle salle capitulaire attenante à l'église, une exposition retrace l'histoire de l'abbatiale. Plus loin, un musée rend hommage au peintre Aimée Rapin (1868-1956).