Longue, étroite, bordée d'immeubles bas, ponctuée de petits bars où rien, pas même le patron, ne semble avoir été renouvelé depuis l'inauguration, cette rue a conservé le charme désuet du Belleville d'antan. Des escaliers de la rue Fernand-Raynaud, belle vue sur Paris. Le nom de la rue, et les deux regards (celui de Saint-Martin, au n° 42) et celui des Messiers (au n° 17) rappellent l'époque où l'eau des sources, captée sur la colline, était acheminée par des aqueducs souterrains.