Le départ des usines Citroën, dans les années 1970, a permis la création de ce vaste parc, le plus grand espace vert de la capitale depuis le Second Empire. De conception futuriste, où se mélangent la végétation, la pierre, le verre et l'eau, omniprésente, il confronte la tradition française, très architecturée et symétrique aux traditions anglaise (serres et jardin en mouvement) et japonaise (jardins sériels, jardin blanc et jardin noir).