Pendant la Seconde Guerre mondiale, les zazous venaient vivre à Saint-Germain-des-Prés leur passion pour le jazz. À la Libération, le quartier est prisé pour sa vie nocturne, ses caves de jazzmen. De Sidney Bechet à Boris Vian, de Juliette Gréco à Sartre, les artistes et les intellectuels lui ont donné un dynamisme qui s'est éteint avec eux. Aujourd'hui, le quartier s'est modifié mais on aime toujours y venir... pour ses galeries d'art contemporain, ses antiquaires, l'atmosphère créée par les étudiants, ses vitrines de mode, ses incontournables cafés, ses librairies, ses rues étroites...