Il a été aménagé à la pointe amont de l'île de la Cité, là où, sous Napoléon III était établie la Morgue : jusqu'en 1910, les curieux avaient libre accès aux salles d'exposition où étaient disposés les corps des victimes de mort violente. Émile Zola, dans Thérèse Raquin, en donne une description saisissante !