Dotée de nombreux commerces de bouche toujours très vivants et de restaurants, dont certains remontent à la première moitié du 19e s., la rue Montorgueil a conservé quelques vieilles maisons aux façades intéressantes (nos 15, 17, 23 et 25) agrémentées de ferronneries. Au no 51, la pâtisserie Stohrer, fondée en 1730, est une des célébrités du quartier. Il faut déambuler le samedi ou le dimanche matin, quand l'animation bat son plein autour du marché.