Du bateau, qui longe la chute américaine avant de s'immobiliser au pied du « fer à cheval » au milieu des tourbillons furieux, la formidable puissance de la cataracte est saisissante, tandis que les imperméables des passagers ruissellent sous les embruns. On ressort de cette expérience la tête vidée, profondément impressionné par la puissance des éléments.