Le nom de la basilique (11e s.) repose sur une tradition de l'an 800 : un paysan, coupant les ronces de son champ, découvrit une statue de la Vierge. Le grand pardon de l'église était naguère appelé « pardon des aboyeuses » car, en 1728, des enfants furent guéris de cette forme d'épilepsie. À l'extérieur, remarquez les gargouilles et la statue de la Vierge du portail. À l'intérieur, voyez le mausolée de marbre du 15e s. d'Olivier de Clisson et de sa femme Marguerite de Rohan.