Dénudé et parcouru de murets de pierres sèches, le plateau de Baravitalla était autrefois habité et conserve des vestiges monumentaux, dont une nécropole. Sur le chemin d'Ispica, on peut apercevoir, dans la zone centrale de la faille, ce que l'on appelle le château, noyau habité à plusieurs étages, abandonné dans les années 1950 et très difficile d'accès.