Pour désigner cette vaste steppe, on a inventé le mot puszta, qui signifie « désert et abandonné » ! C'est dire si les pâturages et les marais, les terres salées et les terrains sablonneux occupent un large espace, que les hommes partagent avec la faune, notamment les chevaux et les oiseaux. Au printemps, la terre se couvre de fleurs, et l'air se remplit du parfum des églantines. Se perdre dans la puszta, c'est aller à la rencontre d'une région chère au coeur des Hongrois et symbole de liberté.