Coiffée d’un toit de lauzes, cette maison du 16e s. à encorbellement, précédée d’un porche, est ornée d’une sirène qui tient un miroir d’une main et un peigne de l’autre. Jadis propriété du second mari de Colette, elle abrite un intérieur collongeois d’autrefois reconstitué au sein du musée des Arts et Traditions populaires.