La maison Picassiette est un illustre exemple de l'architecture naïve du 20e s. Durant 25 ans, le cantonnier Raymond Isidore (1900-1964) a recouvert son modeste pavillon de milliers de débris de verre coloré et de faïence brisée. Sols, plafonds, mobilier, murs, pots de fleurs... Rien n'a échappé à la main du bâtisseur. De la maison à la chapelle qu'il a construite en passant par le Tombeau de l'Esprit, le site est orné de fresques. Le jardin offre une vision très personnelle du mur de Jérusalem.