L’eau est ici omniprésente, s’infiltrant à travers un cortège dense de ruisseaux, d’étangs peuplés de carpes et entretenant l’humidité de sous-bois verdoyants. De denses boisements de résineux, de châtaigniers et de landes à bruyères font un beau vert, pâturé par des bovins, dont Jules Verne a tiré ce nom de « Périgord vert ».