Un magistral escalier à double volée conduit à cette construction qui s'organise autour d'une vaste cour, évoquant à la fois le château de Versailles et une pagode chinoise. Ses architectes n'étaient-ils pas français et chinois ! Il s'agit du palais d'un chef de clan, Hoang Yen Chao, qui s'était rendu maître de la région entre 1905 et 1958 et autoproclamé roi des Hmongs. Sur les 36 salles, on visite celles du rez-de-chaussée, l'occasion d'en savoir plus sur le personnage et sur la région de Bac Ha.