Perdu au milieu d'une immense steppe, Sari Han, un caravansérail seldjoukide du 13e s., dresse fièrement ses hauts murs. Restauré avec des pierres provenant de la carrière d'origine, il mérite plus que jamais son nom, sari : « jaune », surtout au crépuscule, quand les derniers rayons du soleil incendient le plateau, métamorphosant le calcaire en or. Une vision inoubliable. Spectacles de derviches tourneurs.