Perdue au milieu des gratte-ciel, cette demeure restaurée, surnommée le « trou » par Margaret Mitchell (1900-1949), originaire d'Atlanta et auteur d'Autant en emporte le vent (1836), représente le seul édifice ayant encore un lien avec l'auteur et son inoubliable récit de la guerre de Sécession. Dans le salon du minuscule appartement où elle vécut de 1925 à 1932, la jeune fille écrivit son célèbre roman. Le musée, ouvert en 1999, présente des souvenirs, des accessoires et des séquences du film de 1939.