Un charme étrange se dégage de ces vastes pâturages, où les volcans ne comportent ni cônes ni cratères. Les bords du plateau s'abaissent lentement avant d'être entaillés par des vallées encaissées. Au printemps, les tapis de narcisses et de jonquilles cèdent la place à un désert vert, piqueté de burons et de rares villages. L'été, des centaines de bêtes viennent à l'estive, avec la « rouge » (vache salers) à leur tête. Le Cézallier plaira aux amoureux de grands horizons et aux amateurs de ski de fond.