Immense ruban de sable blanc s'étirant sur une dizaine de kilomètres, ces plages tranquilles semblent oubliées des touristes et des marchands ambulants. Intégrées au parc national de Sirinath, elles sont désormais à l'abri des promoteurs, comme la petite mangrove et la langue de forêt qui les bordent. En revanche, oubliez toute velléité de plongée : le récif de corail qui s'étirait à 700 m de la grève a entièrement blanchi, victime de la pollution et du réchauffement des eaux.